Depuis le 27 février 2013 où l'équipe Dreyfus-Schmidt-Meftah a mis main basse sur la fédération du Territoire de Belfort du Parti radical de gauche, la parole des radicaux, comme nous le craignions l'an passé, a été mise sous l'étouffoir.
Que pouvait-il arriver d'autre ?
Le nouveau "bureau fédéral" a exigé la suppression du blog départemental.
Dreyfus-Schmidt, visiblement - a perdu la collaboration de son porte-plume habituel. Or nous le savons bien : ADS a horreur de l'écriture.
Quant à Meftah, en dehors des entretiens confidentiels dans lesquels il brille (uniquement oralement bien sûr) par ses prédictions de fine politique locale, il ne traite nulle part des problèmes nationaux ni surtout grandes questions de société. Cela n'appartient d'ailleurs pas à sa sphère d'intérêts.
Depuis un an chez les radicaux, pas une réunion publique, plus de tracts, pas de présence militante et aucune intervention politique dans la presse locale. En douze mois, ils ont détruit le travail de reconstruction qui était entamé depuis 2005. D'ailleurs, il serait intéressant de savoir combien il reste d'adhérents au PRG
Nous l'annoncions l'année dernière, le minable "coup d'état" n'avait qu'un seul but : s'arroger le statut local de représentants du PRG pour démarcher des places personnelles sur des listes municipales. Apparemment, l'affaire n'a que moyennement marché car s'il est question de la présence de Dreyfus-Schmidt sur la liste Butzbach au premier tour prochain (ce qui était d'ailleurs le cas en 2008), l'ombre de Meftah ne pèse sur aucune liste périphérique.
En cassant le PRG au plan départemental, les putschistes de 2012 n'ont eu pour effet que de briser la fragile branche sur laquelle ils s'étaient perchés.