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  • : Actualité politique du Territoire de Belfort Cantonales 2011 Vie municipale
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Le Radicalisme

Le Radicalisme est le plus ancien courant politique du pays : près de 160 ans. S'il connaît une telle longévité, c'est sans doute parce qu'il porte en lui une jeunesse sans cesse renouvelée. Ce n'est pas le moindre des paradoxes du radicalisme que de démontrer sa vigueur par le fait même de son grand âge.

Ses grands principes

Equilibre entre Libertés individuelles et Solidarité nationale :

  • La Laïcité garantit à chacun une liberté de choix dans le respect des autres.
  • La Solidarité, garante d'équité sociale, crée une société véritablement active et responsable.
  • L'Humanisme mise sur le développement des qualités essentielles de l'être humain.
  • La Tolérance, garante de justice, permet d'accepter les différences conformes à la loi républicaine.
  • L'Universalisme affirme que tous les peuples doivent être représentés dans la conduite des affaires du monde.

 

        
ADRESSE DEPARTEMENTALE DE
 PHR90
    Maison du Peuple
    90000  BELFORT 

Texte libre

    Le renouveau du radicalisme de gauche, c'est à l'époque des Présidentielles de 2007.

    Christian Leblanc et Gabrielle Domin prennent contact avec d'anciens adhérents. Ils s'engagent aux municipales sur la liste socialiste menée par Bruno Kern. Aux deuxième tour, Christian Leblanc rejoint la liste d'union menée par Etienne Butzbach, UNIS POUR BELFORT.

    Le PRG du Territoire de Belfort se reconstruit. Christian Leblanc y accueille Saïd Meftah dont la personnalité a joué un rôle aux municipales de Valdoie. Puis il incite Alain Dreyfus-Schmdt à les rejoindre, car il pense que la personnalité du fils de Michel gêne certains adhérents socialistes.

   Malheureusement, le Cercle radical de Valdoie n'évolue pas et perd même un adhérent; Alain Dreyfus-Schmidt n'apporte aucune contribution au PRG

   En 2011, la fédération envisage de présenter 5 candidats aux cantonales. Christian Leblanc cède la candidature d'Offemont qui lui avait été attribuée à un nouveau venu, Allel Lounes.  Saïd Meftah, pour réduire les frais,  préfère restreindre les candidatures à quatre.Belfort Sud est abandonné.

   Aux deuxième tour des primaires, 4 membres du Bureau fédéral profitent d'un problème de santé du président pour soutenir la candidate qui n'avait pas été choisie par Le PRG. Christian Leblanc a le tort de vouloir soutenir le choix national. Alors, les contestataires le mettent en cause personnellement, sa santé ne lui permettant pas de répondre.

   Aux législatives, Dreyfus-Schmidt rejoint Mme Fleury pour barrer la route à Etienne Butzbach, candidat commun de la gauche, et Meftah contribue à la défaite de la candidate de la gauche dans la 2ème circonscription.

   Ce sont ces personnes qui ont pris par manoeuvre la direction des radicaux de gauche dans le département, avec l'aide d'un responsable national : 15000 euros, la contribution nationale qu'apportent Mme Fleury et M. Dreyfus-Schmidt aux finances du PRG, ce n'est pas négligeable.

 

 

 

Archives

28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 18:35

   Les chiffres du chômage pour octobre sont tombés jeudi 27 novembre. Par rapport à septembre, il y a 46 900 chercheurs d’emploi supplémentaires.

   Dès mercredi, Laurent Wauquiez, secrétaire d’État à l’Emploi, avait annoncé une tendance "très mauvaise" pour les chiffres du chômage de l’ANPE en octobre. Il évoquait une "nette" dégradation, "proche de celle du mois d'août qui avait enregistré 42 200 chômeurs supplémentaires".
   Finalement, les chiffres de jeudi montrent que le nombre de chômeurs inscrits à l'ANPE en catégorie 1 a augmenté de 46 900 personnes en octobre par rapport à septembre, soit une hausse de 2,4 %. Sur un an, elle est de 4,4% sur un an, soit 84 900 chômeurs en plus. La barre des deux millions est de nouveau dépassée.
   Ce chiffre, publié en données corrigées des variations saisonnières (CVS), était tombé sous ce seuil symbolique en mai 2007. Il faut remonter à mars 1993 pour retrouver une hausse mensuelle plus forte. Fin octobre 2008, 2 004 500 demandeurs d'emploi étaient inscrits à l'ANPE dans la catégorie 1, baromètre de référence depuis 1995 qui ne retient que les personnes cherchant un emploi à temps plein en CDI et n'ayant pas travaillé plus de 78 heures dans le mois écoulé. Il s’agit de la sixième hausse mensuelle consécutive depuis mai et la huitième de l’année.
   La tendance est également négative pour le nombre de chômeurs inscrits en catégories 1, 2 et 3 hors activité réduite, prêts à accepter également un temps partiel, un CDD ou un intérim,. En octobre, cette donnée a augmenté de 1,5% par rapport à septembre. Cela représente 31 000 personnes en plus, pour atteindre 2,087 millions. En comptant l’ensemble des catégories 1, 2, 3, 6, 7 et 8, la hausse est de 1,7% en octobre, et de 0,4% en un an. Soit un total de 3,15 millions de personnes.

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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 00:55

   Martin Hirsch, Haut commissaire aux solidarités actives, s'est félicité vendredi à Bastia du bilan de l'expérimentation du Revenu de solidarité active (RSA) menée en Haute-Corse mais s'est refusé à donner toute précision sur la date de sa généralisation.
   Depuis le lancement de l'expérience en Haute-Corse en janvier, le nombre des bénéficiaires du RMI a diminué de plus de 10%, pour descendre en-dessous de 3.000 bénéficiaires actuellement tandis que, selon des données arrêtées début août, 559 personnes bénéficient du RSA.
   M. Hirsch s'est félicité de ces résultats qui “montrent que le RSA, ça marche!”. “Il s'agit d'une des réformes les plus importantes, elle concerne des millions de personnes”, a-t-il ajouté à la presse à l'issue de la présentation du bilan de l'expérimentation en Haute-Corse.
   “Ces résultats dépassent nos espérances, tant qualitativement que quantitativement”, a indiqué le député et président PRG du Conseil général de Haute-Corse Paul Giacobbi, qui “espère atteindre le chiffre de 900 allocataires en 2009″.
   La date d'entrée en vigueur du RSA, tout comme son financement global, restent donc encore à déterminer, M. Hirsch n'ayant pas donné de précisions sur le sujet. Le projet de loi doit être présenté en Conseil des ministres le 3 septembre puis examiné par le Parlement à partir du 22 septembre.
   Le RSA permet de cumuler de faibles revenus issus d'un travail avec une allocation de solidarité. Plus de quatre millions de ménages sont concernés.

(d'après le blog de Pascal-Eric Lalmy, Secrétaire National)
source : http://info.club-corsica.com/index.php?rub=aafp&article=080822145912.5bkfw7l2.txt

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24 juin 2008 2 24 /06 /juin /2008 22:45

FRÉDÉRIC VAN ROEKEGHEM - DIRECTEUR DE L'UNION NATIONALE DES CAISSES D'ASSURANCE-MALADIE
« Plus les mesures seront mises en oeuvre vite, plus le retour à l'équilibre sera conforté »

Cliquez ici
Frédéric Van Roekeghem.
Le gouvernement veut équilibrer les comptes de la Sécurité sociale en 2011. Cet objectif est-il tenable ?

Cet objectif est légitime, souhaitable et tenable. Le déficit de l'assurance-maladie a été divisé par trois depuis 2004, mais il reste 4 milliards d'euros à apurer, soit 120 euros par foyer de soins financés à crédit. Et nous devons faire face à la hausse tendancielle des dépenses liée à l'accroissement de la prévalence de pathologies lourdes et chroniques : actuellement, 40 % de la population concentre 90 % des remboursements. Le retour à l'équilibre est néanmoins atteignable, car il reste des marges d'efficience importantes à tous les niveaux. Une hausse des dépenses limitée à 3,3 % en 2009, contre une évolution tendancielle de près de 5 %, constitue un objectif rigoureux mais raisonnable.

Une levée de boucliers généralisée. Telle est la tonalité des réactions au plan de redressement proposé par le directeur de la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Frédéric van Roekeghem a proposé ce mardi de réduire notamment la prise en charge des maladies chroniques comme le diabète ou graves comme le cancer. Face à un déficit attendu de 4,1 milliards d'euros pour quelque 150 milliards de recettes en 2008, il propose ", dont deux milliards d'économies.

Si le plan est loin de se limiter à elle, une proposition a cristallisé les mécontentements. Elle prévoit de baisser de 100% à 35% le remboursement par la Sécurité sociale des médicaments "à vignette bleue" (dits de confort) pour les malades en affection longue durée (ALD), le reste étant "transféré aux organismes complémentaires" (mutuelles ou assurances privées). Ces malades atteints de pathologies lourdes comme le diabète ou le cancer sont 7,7 millions en France. Ils sont remboursés à 100% et M. van Roekeghem a aussi souhaité que la Sécu limite davantage l'accès à cette catégorie, attendant 250 millions d'économies au total sur ce secteur.

Syndicats de salariés (CGT, CFTC, Unsa, etc.) de médecins libéraux (CSMF, MG-France), partis de gauche et associations de malades ou de handicapés (AFD, Ciss, Fnath) ont très vivement réagi à ces propositions jugées "choquantes", "scandaleuses" ou "inacceptables". La CFTC et le collectif d'usagers de la santé Ciss voient ainsi dans une baisse de la prise en charge des malades chroniques une remise en cause du principe de "solidarité" qui régit la protection sociale en France. La CFE-CGC dénonce une "étape supplémentaire du désengagement de l'Etat", menée "sans aucun débat".

Alors que le PS dénonce "une logique de déremboursements massifs", la CGT juge les propositions du directeur de la Cnam d'autant plus "insupportables" qu'il est déjà "de plus en plus difficile de se soigner du fait de la multiplication des forfaits, des franchises et des dépassements d'honoraires médicaux".

D'autres ont souligné l'urgence de trouver de nouvelles recettes face à des dépenses dont l'augmentation est rendue inéluctable par le vieillissement de la population. "On parle beaucoup de rogner sur les dépenses et on ne parle jamais des recettes. Or, tous les experts s'accordent pour dire que les dépenses de santé ont vocation à augmenter d'un point un point et demi au-dessus du PIB", a déclaré à l'AFP le président du principal syndicat de médecins libéraux (CSMF), Michel Chassang. "Il y a peut-être des recettes à aller chercher ailleurs qu'en taxant exclusivement le travail. Aujourd'hui, il y a des gens qui vivent très bien par des revenus autres que ceux du travail", a déclaré le président de l'Association française des diabétiques (AFD), Gérard Raymond.

Au delà, M. Roekeghem attend près d'un milliard d'euros d'économies sur les tarifs de certains médicaments, dont des génériques, ou produits de santé, et d'une diminution des tarifs de radiologie et biologie médicale, a-t-il dit à l'AFP. Il entend aussi limiter les prescriptions de transport (ambulances) ou d'arrêts maladies. Mais le message est quelque brouillé du côté de la Cnam. Dans un communiqué laconique diffusé mardi après-midi, elle assure ainsi qu'elle "n'envisage aucunement de remettre en cause la prise en charge à 100% pour les affections de longue durée", soulignant que "l'enjeu est au contraire de pouvoir continuer à prendre en charge intégralement les soins délivrés aux patients souffrant de maladies graves".

Reste désormais au gouvernement de trancher. Interpellée à l'Assemblée nationale, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, s'est gardée de se prononcer, mais a qualifié d'"immoral" le déficit de la Sécu. "Nous avons demandé à l'assurance maladie de nous faire des propositions", elles seront examinées "dans les semaines qui viennent", a pour sa part déclaré le ministre du Budget, Eric Woerth.

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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 00:32
BONUS ET BONNE NOUVELLE :
Les familles un peu avantagées dans ce domaine.

    Pour la prochaine rentrée scolaire, l'ARS (Allocation de rentrée scolaire) sera modulée selon l'âge de l'enfant  et augmentée pour les enfants scolarisés de plus de 10ans a annoncée Nadine Morano secrétaire d'Etat sur France 2 hier Vendredi 20 juin 2008, ce qui ne pourra que satisfaire les familles concernées.

    A la dernière rentrée scolaire 2007/2008, le montant était le même pour tous les enfants de 5 à 17ans révolus soit 272,57€.

   En août prochain le montant minimal versé par les caf sera le même qu'en 2007 pour les 5/10ans, soit  272,57€ ; l'augmentation en 2008/2009 concernera les enfants de 11/14ans soit  287,57€ (+15€ par rapport à l'année passée) et  les 15/18ans 297,577 € (+25€ par rapport à l'an dernier) .

   Globalement, c'est un effort de 50 millions d'Euros supplémentaires pour la prochaine rentrée scolaire. Les partenaires sociaux de la Cnaf son satisfait d'après une déclaration de Jean-Louis Deroussen son président.

   «Pour accompagner les familles, nous allons mettre un budget supplémentaire de 50 millions d'euros» «il était nécessaire de faire un effort significatif au moment de l'entrée au collège et au moment du lycée» a t'elle indiquée lors de son interview sur la chaîne publique. image jpg-

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